Savoir faire : données, images et cartographie forestière

Savoir faire : observation en forêt

Mesure sur placette. Sylvain Gaudin (C) CNPF

Le métier de FORESTYS consiste à rassembler des observations multiples pour les transformer en informations prêtes à l’emploi. Elles sont présentées sous forme de cartes ou de graphiques.
Son travail est au service des gestionnaires forestiers pour l’adaptation au  changement global.

 

 

 

 

 

 

 

 

Carte des placettes de l'inventaire forestier nationalAdapter la forêt au changement climatique avec la FPC

Pour que les décisions s’appuient sur des faits, FORESTYS analyse pour chaque cas particulier la plus vaste base d’observations forestières française. Son savoir faire, issu des recherches en écologie forestière, se traduit par des outils basés sur la fréquence pédoclimatique (FPC).
Plus sur la prise en compte du risque climatique.

 

 

 

 

 

 

 

Satellite Sentinel 2 survolant la France

Satellite Sentinel 2 pour l’observation de la végétation. (C) ESA

Observation satellitaire de la phénologie forestière

La surveillance satellitaire fait gagner du temps et de l’efficacité en cartographiant les événements qui touchent la canopée, comme les impacts des ravageurs.

Avec le savoir faire de FORESTYS tous les gestionnaires peuvent localiser leurs enjeux précisément et rapidement, et même revenir sur les événements passés.
Plus sur l’observation satellitaire

 

 

 

 

Savoir faire : inventaire spatialisé

Acquisition de données lidar (C) Onera

Inventaire de gestion spatialisé

Un inventaire spatialisé repose sur une couverture aérienne (lidar ou photogrammétrie) et sur des placettes de calage en forêt.
Il  décrit la dendrométrie à une fine résolution spatiale. Cette information donne au gestionnaire forestier des leviers de rentabilité dans la durée.
Plus sur les inventaires spatialisés

 

 

 

 

 

 

Praticabilité : débusqueur à cable

Sortie de grumes au débusqueur à câble. Sylvain Gaudin (C) CNPF

Praticabilité des sols

Pour tracer des voies de vidange praticables le plus souvent possible, la topographie, même peu marquée, compte autant que les qualités du sol.
Une analyse fine des écoulements préférentiels permet d’ajuster les tracés.
Plus sur les études de praticabilité